Revue canadienne d’orthophonie et d’audiologie

The Contribution of the Auditory Brainstem Responses to Bone-Conducted Stimuli in Newborn Hearing Screening

 
Auteur(s) Edward Yang, PhD
Andrew Stuart, PhD
Volume 24
Numéro 2
Année 2000
Page(s) 84-91
Langue Anglais
Catégorie
Mots-clés ABR
bone-conducted
stimuli
newborn
hearing
screening
Abrégé Both the auditory brainstem response (ABR) to air-conducted stimuli and evoked otoacoustic emissions have been questioned for their lack of specificity for permanent sensorineural hearing loss during the newborn period. Unfortunately, prevailing indices for detecting middle ear dysfunction such as otoscopy and tympanometry have not demonstrated adequate success to serve as a second line of screening during this time. The use of ABR to bone-conducted stimuli during the newborn period to differentiate sensorineural from conductive auditory deficits and thereby improving the efficiency of screening methods is advocated herein. Specifically a two-staged approach for the universal hearing screening of newborns prior to hospital discharge is suggested. The utilization of the ABR to air-conducted tonal stimuli (i.e., 500 and 2000 Hz) as a first line of testing is offered. Infants who display an identifiable and replicable ABR wave V to 30 dB nHL air-conducted tonal stimuli with a latency within plus two standard deviations of the mean of the age appropriate normative data in both ears are considered a “pass.” For those infants that “fail” the initial hearing screening test, the employment of bone-conducted tonal stimuli is recommended. The purpose of this article is to summarize procedures associated with the implementation of ABR to bone-conducted stimuli with controlled signal delivery in the audiological screening/assessment of young infants.


La spécificités des potentiels évoqués auditifs par conduction aérienne tout autant que celle des oto-émissions acoustiques a été mise en doute à cause de leur imprécision quant à la surdité permanente de perception chez les nouveau-nés. Malheureusement, les indices prédominants pour dépister des troubles de l'oreille moyenne, telles que d'otoscopie et la tympanométrie, n'ont pas fait leurs preuves comme deuxième moyen de dépistage. Le présent article vante les mérites du recours aux potentiels évoqués auditifs par conduction osseuse chez les enfants en très bas âge pour différencier les pertes neuro-sensorielles des pertes de transmission. Plus précisément, il préconise une approche en deux volets pour le dépistage universel de la surdité chez les nouveau-nés avant le congés de l'hôpital. L'utilisation des potentiels évoqués auditifs en réponse à une tonalité aérienne (p.ex.: 500 et 2 000 Hz) comme premier moyen de dépistage est offerte. On considère que les poupons <> lorsqu'ils affichent une onde V distincte et répétée en réaction à un stimulus par tonalité aérienne de 30 dB nHL avec une latence ne dépassant pas deux écarts-types pour la moyenne d'âge appropriée, et ce, dans les deux oreilles. Pour les enfants qui <<échouent>> au test de dépistage initial, on reconnande le recours à des stimuli par conduction osseuse. Cet article fait un tour d'horizon des procédures liées à l'application des potentiels évoqués auditifs en réponse à des stimuli par conduction osseuse avec transmission de signal contrôlée lors du dépistage et de l'évaluation audiologique des jeunes enfants.
ID 56
Lien https://cjslpa.ca/files/2000_JSLPA_Vol_24/No_02_33-92/Yang_Stuart_JSLPA_2000.pdf
 

La RCOA est une revue en accès libre, ce qui signifie que tous les articles sont disponibles sur Internet dès leur publication, et ce, pour tous les utilisateurs. Les utilisateurs sont autorisés à lire, télécharger, copier, distribuer, imprimer, rechercher ou fournir le lien vers le contenu intégral des articles, ou encore, à utiliser les articles à toutes autres fins légales.

La RCOA ne charge aucun frais pour le traitement ou la publication des manuscrits.

C’est l’Orthophonie et Audiologie Canada (OAC) qui détient les droits d’auteur de la Revue canadienne d’orthophonie et d’audiologie. Il faut mentionner la source (OAC, nom de la publication, titre de l’article, numéro du volume, numéro de la parution et numéro des pages), mais sans laisser entendre que OAC vous approuve ou approuve l’utilisation que vous faites du texte. Il est interdit d’utiliser les documents à des fins commerciales. Il est interdit de modifier, transformer ou développer le texte.