Revue canadienne d’orthophonie et d’audiologie

Young Children’s Responses to Maximum Performance Tasks: Preliminary Data and Recommendations

 
Auteur(s) Susan Rvachew
Alyssa Ohberg
Robert Savage
Volume 30
Numéro 1
Année 2006
Page(s) 6-13
Langue Anglais
Catégorie
Mots-clés speech
sound
disorders
development
maximum
performance
tasks
Abrégé The purpose of this study was to examine the ability of 4- to 6-year-old children with typical speech to perform certain maximum performance tasks, with a view to developing diagnostic criteria for identifying dyspraxia and dysarthria in this age group. Twenty children were asked to prolong [a], [mama], [f], [s], and [z] for as long as they could. They were also asked to repeat the syllables [pa], [ta], and [ka] and the trisyllabic sequence [pataka] as fast they could. The children’s responses to the prolongation tasks were highly variable within and across children. Using traditional elicitation methods, these measurements do not appear to be good potential indicators of dysarthria or dyspraxia in this age group. In contrast, repetition rates were much more stable within and across children. All but one child repeated monosyllables at a rate of at least 3.4 syllables per second. Every child achieved a correct repetition of [pataka] at a rate of at least 3.4 syllables per second. Recommendations for interpreting young children’s performance on these tasks are provided.


La présente étude porte sur des enfants de 4 à 6 ans dont la parole est typique et examine leur capacité à exécuter des tâches de durée maximale d’exécution dans le but d’élaborer des critères de diagnostic pour la dyspraxie et la dysarthrie chez ce groupe d’âge. Nous avons demandé à vingt enfants d’allonger les séquences [a], [mama], [f], [s] et [z] aussi longtemps qu’ils le pouvaient. Nous leur avons aussi demandé de répéter les syllabes [pa], [ta] et [ka] et la séquence trisyllabique [pataka] aussi rapidement que possible. Les réponses des enfants à la tâche de prolongation ont donné des résultats très variables pour chaque enfant et entre les enfants. À partir des méthodes habituelles de d’évocation, ces mesures ne semblent pas être de bons indicateurs de la dyspraxie ou de la dysarthrie chez ce groupe d’âge. En revanche, la fréquence de répétition était beaucoup plus stable. À l’exception d’un seul enfant, tous ont répété les monosyllabes a une fréquence d’au moins 3,4 syllabes la seconde. Chaque enfant a réussi à répéter correctement [pataka] a une fréquence d’au moins 3,4 syllabes la seconde. L’article formule des recommandations pour interpréter la performance des jeunes enfants à ces tâches.
ID 912
Lien https://cjslpa.ca/files/2006_JSLPA_Vol_30/No_01_1-80/Rvachew_Ohberg_Savage_JSLPA_2006.pdf
 

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